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Allons voir ailleurs si nous y sommes
RÉALISÉ PAR RENAUD SKYRONKA & EMMANUELLE ROULE - 2016 (41min)

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SYNOPSIS

Notre volonté est de saisir l’effervescence de nouveaux écosystèmes artistiques collaboratifs, jeunes artistes d’ici, d’ailleurs, de maintenant, valorisant un pluralisme culturel et artistique. 
Comment certains artistes, jeunes, témoins activistes de ces temps nouveaux, adaptent, modifient, questionnent leurs processus créatifs, initient de nouvelles dynamiques artistiques, notamment collectives, qui tendent à insuffler, générer de nouveaux modes de vie et à interagir sur le monde de demain. 
Victime des effets pervers d’une mondialisation, l’art actuel tend à effacer les singularités dans un courant dominant. 
Prendre le pouls des scènes artistiques contemporaines émergentes, suivre le parcours de jeunes artistes qui tendent, face à une conjoncture économique mondiale difficile, à générer d'autres perspectives d’un nouvel « art de vivre ». 

Dans nos sociétés contemporaines qui connaissent de profonds bouleversements et changements, l'art apparaît comme une nécessité, un terrain d'expérimentations, de dialogues, d'échanges vital. 

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« Allons voir Melbourne »

Pour ce film, nous avons souhaité aller à contre-pied de ce que nous connaissons, aller à l’autre bout de la planète. 
La ville de Melbourne, en Australie, est alors apparue comme une évidence. Entre ce multiculturalisme européen et anglo-saxon, cette ville a développé une identité propre, une âme qui selon certains, manque aux autres villes australiennes. 
Peut-on pour autant parler d’eldorado ?
Une ambivalence apparaît entre cette culture urbaine, à l’origine spontanée, populaire, revendicative et le développement économique de la ville qui entraîne une nouvelle mutation architecturale, identitaire. 

Ce qui nous intéresse tout particulièrement, c'est le modèle des "artists run spaces or initiatives" où les artistes créent les propres conditions de la diffusion de leur pratique avec le plus grand nombre. Comment cela fonctionne-t-il ? Quelle durabilité ? À qui se destinent ces initiatives ? 
Quelle considération a le grand public pour la jeune création contemporaine ?
Quels rôles jouent les institutions vis-à-vis de ces dynamiques nouvelles ?

Qu’en est-il sur l’approche collective ? Quelles appropriations possibles pour le grand public ? 

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